1/14La cellule (Becquemin & Sagot), Apparition d'une île, 2011
2/14Ionna Vautrin & Guillaume Delvigne, Boîte tamisée, 2005.
Industreal® Tous droits réservés.
3/14Julie Brugier, L'autre qui avait perdu sa langue, 2012
Outils de démonstration de prévention des risques, pour un public de femmes migrantes se prostituant.
4/14Jonathan Tijou, Ex aequo, 2012
5/14Antoine Boudin, Sen - Service de porcelaine, 2012
© Cité de la céramique - Sèvres et Limoges
crédits photo : Gérard Jonca
6/14Bague Sifflet Aas, Laure Cabanne, 2008
Crédits photo : Isabelle Tirador
7/14Julien Souply, 2008. Affiche réalisée pour le Festival International de l'affiche et du graphisme de Chaumont en 2008. Le thème était "Homme et Femme"
8/14Marine Royer, A l'ère de la nanobiotechnologies : Corselet diffusant - Hormone LHRH,2010
Crédits photo : Alexandre Oudin
9/14Arik Levy, PoweredByJimmyJane, 2009
Crédits photo : Ian Scigliuzzi
10/14Mme Peel, Claire Lavenir, 2008
11/14Céline Renaudie, Attributs ménagers pour homme, 2012
Crédits photo : Céline Renaudie
12/14Carolina Reis, Measure Treasure, 2011
Crédits photo : Nichon Glerum
13/14Marie Garnier, METHOD, 2008
Faïence et cheveux naturels
14/14Morgane Pluchon & Quentin Simonin, Fruit condom, 2009
ExpositionC’est pas mon genre !Commissariat et scénographie :
Rodolphe Dogniaux et Marc Monjou, avec les étudiants du post-diplôme de l’ESADSE
Cité du design - Bâtiments H

Après un premier séjour au Museum für Angewandte Kunst de Francfort à l'automne 2012, l'exposition C'est pas mon genre ! revient à l'École supérieure d'art et design de Saint-Étienne (ESADSE) où elle a été conçue. Adoptant un ton et un positionnement résolument critiques et sans favoriser une définition univoque de la féminité, C'est pas mon genre ! montre les courants émergents du design contemporain français en interrogeant les rapports multiples et complexes qu'il entretient avec les femmes. Les objets présentés appartiennent à des ordres du design très différents : design de création ou d'édition, design industriel et de masse ou design critique. Touchant tous de près ou de loin le rapport du design et des femmes, ils présentent des niveaux d'intérêt divers. Pour les uns, c'est l'intérêt plastique ou graphique qui prévaut ; pour les autres, c'est la charge critique ou l'esprit de provocation ; pour les autres encore, c'est l'aspect littéral qui a retenu l'attention des commissaires. Chacun à leur niveau, les objets exposés reflètent visiblement les enjeux de pouvoir et leur influence sur l'organisation sociale et plastique de la production en design. Ce qui ne veut pas dire que le design est un simple miroir : il est certes l'un des effets, mais il est aussi et surtout, l'un des acteurs de la partition sexuée des rôles, de l'organisation de la famille, du travail ou des loisirs.


Designers, agences, entreprises, chercheurs... Découvrez les acteurs de cette exposition