De vous à nous, c'est tous les vendredi ! Ce 12 avril, c'est Sarah Beigbeder, médiatrice amateur qui vous propose une visite guidée gratuite. Prenez votre billet et retrouvez-la à 12h30 au pied de la tour observatoire.

Bonjour, peux-tu te présenter ?

Je m'appelle Sarah Beigbeder. Je suis stéphanoise, j'ai 19 ans et je suis en 1^e année de Bachelor à l'école 3A (Afrique-Amérique-Asie). Plus précisément j'étudie le commerce et le développement durable. Je suis aussi médiatrice culturelle amateure et bénévole sur la Biennale. Le vendredi 12 avril, j'animerai une visite de la Biennale auprès d'un groupe de visiteurs.

Est-ce ta première fois à la Biennale du Design de Saint-Étienne ?

Non, j'étais déjà venue à la Biennale de 2017 et j'avais été marquée par les expositions. C'était une première expérience du milieu du Design qui m'a intrigué et m'a donné la volonté de participer cette année.

Comment as-tu découvert le projet de médiateur culturel amateur « De vous à nous » et qu'en as-tu pensé ?

Je cherchais des informations sur le site internet de la Biennale et j'ai découvert le projet par hasard. J'ai apprécié le fait d'avoir un aperçu de l'organisation autour d'un évènement de cette envergure. A mon sens il s'agissait d'une véritable opportunité de découvrir un métier, un nouvel univers et de rencontrer des passionnés du sujet comme les commissaires d'exposition. Le projet m'a beaucoup plu car il était riche en enseignements. J'ai par exemple assisté à un cours avec une professeure de chant ainsi qu'une comédienne pour apprendre à mieux me servir de ma voix.

Que peux-tu nous dire sur les expositions que tu vas présenter ?

J'ai particulièrement travaillé les expositions de Lisa White et Fan Zhe. Je devais choisir 5 objets sur lesquels concentrer ma présentation. Certains m'ont beaucoup marqué comme un fauteuil roulant aux roues colorées qui a été fabriqué par une jeune fille pour sa petite sœur en situation de handicap. J'aime aussi beaucoup une série de machines de recyclage qui permettent de travailler des déchets de plastique pour fabriquer de nouveaux objets. Cela me parle car je retrouve un lien avec mes études sur les aspects social et de développement durable.