Julia Debord et Lina Djellalil, deux jeunes designers et plasticiennes, diplômées de l’École Supérieure d’Art et de Design, présentent un conte sur le mythe d’un oasis perdu.
À Zerzura naissent, comme un mirage, des objets étranges. La pierre y est tendre, l’eau n’y est qu’effluves et reflets. Julia Debord et Lina Djellalil nous transportent à travers des artefacts étranges ou singuliers, des objets aux inspirations telluriques, des sculptures organiques, des objets profanes devenus sacrés, des objets devenus espaces. Zerzura conte le mythe d’un oasis perdu, la projection d’un univers onirique et réconfortant. Deux univers se recoupent, deux approches du travail des matériaux cohabitent et se répondent.